Documents de référence
« Au commencement était le Verbe et le Verbe était avec Dieu et le Verbe était Dieu. (...) Et le Verbe s'est fait chair et il a habité parmi nous »
(Jn 1,1-14)
Pourquoi le judaïsme nous est-il nécessaire pour adorer Jésus-Christ ?
Pour raconter Jésus, les premiers Juifs qui crurent en lui utilisèrent le langage qui jusque-là leur servait à raconter Dieu.
Le Linceul de Turin est-il un signe de la Résurrection du Christ ?
Le Linceul n’est pas une preuve objective contraignante obligeant à croire mais il est incontestablement authentique et il fait signe de bien des manières, touchant ceux qui l’étudient ou le contemplent, et devenant pour beaucoup un chemin qui conduit au Christ et à la foi en la Résurrection.
Jésus est-il vraiment unique dans toute l’histoire des religions ?
Jésus est le seul homme qui s’est mis au rang même de Dieu ; Il est le seul Dieu humilié de l’histoire, mort au rang des pécheurs ; et Il est le seul dont des témoins attestent, au prix de leur vie, que Dieu l’a ressuscité d’entre les morts.
Jésus a-t-il vraiment existé ?
La certitude historique de l’existence de Jésus n’a jamais été sérieusement mise en question depuis 2000 ans et elle est attestée par des faits et de multiples sources antiques, chrétiennes, juives ou profanes.
La puissance de Jésus-Christ… l’humilité ?
L’humilité nous permet de voir l’autre plus grand que nous-même. Le Christ savait avoir pour tous ceux qu’il rencontrait, souvent les plus pauvres, un regard aimant qui fait progresser en humanité. C’est à cette attitude que nous sommes appelés.
Jésus est-il vraiment ressuscité ?
Sans la Résurrection du Christ, la naissance de l’Église est inexplicable pour l’historien. Aucune hypothèse ne parvient à justifier le changement radical qui s’opère chez les disciples désespérés après la mort de leur maître ni la constance du témoignage qu’ils donneront jusqu’à la mort.
Pourquoi les chrétiens pensent-ils Jésus à la fois homme et Dieu ?
Parce que c’est la seule façon pleinement satisfaisante de lire les Évangiles et de découvrir notre vocation d’enfant de Dieu.
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commentaire
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Bonjour. J'ouvre l'ordi et je reçois votre courriel...Quel beau cadeau. Quel beau site bien fait entrant dans ma maison. J'aurai du plaisir à le parcourir. Merci infiniment. C'est Celui qui nous unit et nous maintient de sa Vie qui m'écrit par vous. Merci mon Dieu. Amen,
« Pour vous, qui suis-je ? » C’est la question que Jésus a posée à ses apôtres et sur laquelle prennent position, chacun à sa manière, tous ceux qui ont depuis entendu parler de lui. Les réponses sont extrêmement variées, depuis ceux qui doutent de son existence ou pensent qu’elle ne change plus rien, jusqu’à ceux qui croient qu’il est, comme le dit Jean-Paul II au début de Redemptor hominis (la première encyclique de son pontificat), « le centre du cosmos et de l'histoire », en passant par ceux qui voient en lui un sage et un maître, mais sans doute pas Dieu. Le premier problème n’est cependant pas de décider si Jésus de Nazareth était bien le Christ (francisation du mot grec traduisant l’hébreu qui a donné Messie, c’est-à-dire celui qui a reçu l’onction), le Fils de Dieu fait homme, crucifié, ressuscité et remonté aux cieux. Le défi est bien plutôt de savoir si c’est quelqu’un avec qui on peut toujours aujourd’hui entrer dans une relation à la fois personnelle et communautaire, et qui est bien plus que ce qu’on sait de lui sans l’avoir rencontré. Dans quelle mesure ce qui se raconte sur Jésus-Christ et ce qui a pu se faire en son nom gêne-t-il l’accès à la vérité du personnage ? Est-il possible de connaître le Jésus de l’histoire ? Est-ce une illusion que de percevoir qu’avant même que nous nous prononcions sur son identité, c’est lui qui nous interpelle et nous invite à entrer en communion non seulement avec lui, mais encore avec tous les membres de son Corps qui, malgré les limites de chacun, lui rendent témoignage ?
Cette question est posée d’abord dans les évangiles, bien en amont de toutes les images de Jésus-Christ dans la littérature, les arts et la culture. Il n’est pas difficile de s’en procurer un et c’est une lecture à laquelle on se laisse prendre, parce que c’est du récit et que l’acuité du questionnement stimule la liberté de la réponse. Il y a ensuite tous les témoignages de ceux qui ont rencontré Jésus-Christ et qui ont frayé des chemins pour découvrir sa proximité vivante. On peut enfin chercher la vérité sur lui dans les églises et les monastères où il tient en quelque sorte portes ouvertes, que ce soit pendant la célébration des mystères qu’il a confiés à ses disciples et à leurs successeurs pour objectiver et actualiser sa présence parmi eux, ou en dehors des offices dans le silence attentif de la méditation.