Dès l'origine, l'Église a condamné la franc-maçonnerie et elle l'a fait en dénonçant une multitude de choses et notamment le principe du secret qui lie les membres de la franc-maçonnerie et qui fait qu'ils s'engagent au service d'une stratégie qu'ils ignorent, l'occultisme et le relativisme auquel ce mouvement est congénitalement lié et le combat contre l'Église et les valeurs chrétiennes qu'il a toujours mené. À cause de tout cela, l'appartenance aux deux institutions a toujours été déclarée incompatible par l'Église, mais la franc-maçonnerie n'est pas d'accord et elle combat cette idée.

La franc-maçonnerie est même la chose qui a été la plus condamnée, dans toute l'histoire de l'Église.  Elle est dénoncée dans les documents pontificaux comme « une œuvre du démon » mais l'Église distingue comme toujours les doctrines et les personnes qui disent les assumer. Un chrétien est toujours moins bien que ce que l’Évangile l'appelle à être, et un franc-maçon n'est jamais aussi noir que la doctrine qu'il professe et on peut et doit toujours prier pour qu'il se convertisse, jusqu'au dernier moment.