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  ∨ Théologie Marie de Nazareth

Pourquoi dit-on que Marie est « Toujours Vierge » ?

Dieu a voulu la virginité perpétuelle de Marie, confessée par toutes les Églises d’Orient et d’Occident, comme un signe essentiel pour éclairer et faire comprendre son rôle unique de Mère de Dieu et de mère des hommes.
  • 1. 

    L’Église confesse depuis l’origine que Marie est « la Vierge du Seigneur » et toutes les icônes de la Mère de Dieu la présentent « aei parthénos » (Toujours Vierge), mais l’affirmation dogmatique de cette virginité totale et perpétuelle de la mère de Dieu avant, pendant et après l’enfantement de son Fils ne s’est imposée unanimement que progressivement chez les Pères de l’Église, puis dans plusieurs conciles et dans le Magistère de l’Église.

  • 2. 

    La conception virginale de Jésus n’a jamais fait débat. Elle est très puissamment affirmée par l’Évangile. C’est le signe essentiel, annoncé par la célèbre prophétie d’Isaïe 7,14, qui convient pour exprimer le mystère de l’Incarnation du Fils unique de Dieu.

  • 3. 

    La virginité in partu, dans l’enfantement, est mise en relation avec la Résurrection. Jésus sort victorieux du tombeau comme il sort du sein inviolé de sa mère. Cette connexion des mystères, si essentielle aux yeux de Pères de l’Église, échappe souvent aux chrétiens d’aujourd’hui. Noël est incompréhensible sans Pâques.

  • 4. 

    La virginité post partum, après l’enfantement, a toujours été tenue par les Pères de l’Église et la Tradition, mais trois expressions du Nouveau Testament ont suscité quelques objections, sans troubler la foi des premiers lecteurs attentifs de l’Écriture qui connaissaient le contexte : les mots « premier-né » (Luc 2,7), « jusqu’à » (Matthieu 1,25) et la question des « frères et sœurs de Jésus » (Marc 6,3 ; Matthieu 13,55). Les deux premières objections n’ont pas beaucoup de poids : car Jésus « Premier né » ne signifie pas qu’il y a eu un second enfant. Et dans la Bible, l’expression « jusqu’à » ne signifie pas forcément un changement subséquent, mais une mesure de temps.

  • 5. 

    La question des « frères et sœurs » de Jésus appelle une réponse plus argumentée qui prend en compte plusieurs arguments forts : Jacques et Joset sont appelés frères de Jésus mais ils sont sûrement les fils d’une autre Marie ; Simon et Jude sont des cousins du Seigneur selon Hégésippe ; L’Évangile mentionne aussi des « sœurs » ce qui supposerait au moins sept enfants, qui ne sont jamais appelés « fils ou filles de Marie » ; enfin, Jésus n’aurait pas confié sa mère à Jean au pied de la Croix (Jean 19, 26) si elle avait eu de nombreux autres enfants ; tout cela vient en fait de l’absence de mot en hébreu ou en araméen pour dire « cousin » ; dans le grec du Nouveau Testament, le mot frère a souvent une signification qui n’est pas biologique.

  • 6. 

    Même si le sujet revient régulièrement comme un « scoop » dans la presse ou les ouvrages de vulgarisation, les Pères de l’Église ont déjà tranché la question dès le Ve siècle, avec, au-delà de toutes ces raisons bien fondées, l’argument de bon sens que toutes les Églises apostoliques d’Orient et d’Occident confessent et reconnaissent depuis toujours : Marie n’a pas eu d’autre enfant car elle est « la Vierge du Seigneur », qui lui est totalement consacrée.

  • 7. 

    Au-delà du signe il faut comme toujours chercher le sens profond : Marie, Vierge et Mère, est le modèle admirable de l’Église. Sa virginité parfaite est le signe de sa foi que nul doute n’altère et le signe de son entière consécration à Dieu qui est au fondement de sa mission unique de Mère de Dieu et de mère des hommes. Elle n’a selon la chair qu’un seul enfant, parce que selon l’esprit, elle est appelée à devenir la mère de tous. Sa virginité l’ouvre à sa maternité spirituelle.

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commentaires

postés

Véronique Belen 14/08/2018 17:03

Marie, Je t’aime et tu le sais. Tu m’aimes et je le sais. Doux colloques que nos dialogues intimes dans l’oraison, quand je me réfugie près de ton sourire bienveillant et maternel, près de ton cœur qui aime tant et qui comprend si bien. Marie, jamais tu ne t’offusques que je ne t’appelle pas « Sainte Vierge Marie ». Pourquoi m’adresserais-je à une jeune fille de quatorze ou quinze ans, alors que tu es grande de tout ton vécu de femme et de mère ? Il y a entre toi et moi une douce connivence née de notre confiance et de notre connaissance réciproque. Oh toi tu me connais depuis l’instant de ma conception, j’en suis sûre, car connaissant l’ardeur à te prier de ma mère, je me doute bien que c’est vers toi que sont montées ses larmes de détresse en apprenant que je vivais déjà, là dans son sein, elle qui était si fatiguée d’élever déjà trois toutes petites filles nées pourtant par amour ! C’est toi qui étais là, indiscutablement, quand sa mère lui a donné de vilains conseils pour se défaire de moi, et que ces intentions coupables n’ont pas produit leur effet. Tu étais là, dans ta sollicitude maternelle, quand elle a poursuivi courageusement cette quatrième grossesse, quand elle a surmonté sa déception de ne toujours pas avoir eu de garçon, quand elle m’a habillée très chaudement par un froid dimanche de janvier pour que je reçoive, des mains de son propre frère jeune prêtre, l’eau du baptême et un prénom si ajusté choisi par ma tante très sainte. Tu étais là Marie, quand j’ai été baptisée du prénom de celle qui console ton Fils sur son chemin de Croix, et du tien, donné comme à toutes mes sœurs par amour de toi et de l’Eglise catholique, notre lignée. Marie, mon enfance est pleine de ton image, de ton sourire sur cette statue de l’Immaculée Conception de Lourdes qui veillait sur notre famille dans notre si modeste foyer, dans les nombreuses représentations de toi qui ornaient les murs chez tous nos proches. J’étais si familière avec toi que comme par un mouvement naturel, je voulais te connaître mieux. Je te convoquais parfois, au bord de mon lit, pour jouir de la joie de Bernadette Soubirous. Mais jamais, tu ne te montrais. Je me disais que tu m’en voulais peut-être un peu, car bien plus que toi, je chérissais ton Fils. C’était surtout lui que je priais, que j’aimais, que je voulais pour frère et pour Seigneur. J’ai été accompagnée de manière sûre dans ce chemin par notre excellent curé de paroisse dont le nom ne signifiait pas moins que « Dieu fait grâce, hais le diable ! » Je ne connaissais pas le diable, lui n’en parlait jamais, mais ton Fils, sa Parole et le témoignage quotidien d’une vie évangélique, ô combien ! Merci Marie pour le Fils que tu nous as donné, merci pour mon éducation catholique qui m’a procuré la joie de recevoir son Corps, dans une foi immense, à neuf ans ! Dans nos retrouvailles un peu tardives, Marie, quand tu es venue chercher avec un très grand amour ma maman fatiguée de vivre, quand tu as imprimé sur sa face, sans doute par une vision au moment où son cœur s’est arrêté de battre, ce si beau sourire de sérénité qu’elle a gardé comme un ultime témoignage de sa foi pour nous qui l’avons contemplée, j’ai compris que quelque chose s’était inversé entre toi et moi : désormais, c’était à moi de me faire l’avocate de ta vie véritable, Marie, c’était à moi, ne risquant plus d’offusquer ma maman si attachée à ton culte, de rétablir la vérité sur ce qu’a été ta vie, à Nazareth, il y a 2000 ans. Marie, si je t’écris aujourd’hui publiquement, c’est par amour et par reconnaissance, par acceptation de ce que tu attends de moi. Oui, à quatorze ou quinze ans, tu étais une délicieuse jeune fille, pure de cœur et d’esprit, vierge encore et promise à un jeune homme juif qui t’aimait. Dans le mystère d’une nuit indicible, tu as été visitée, saisie aux entrailles par le Dieu de tes pères, fécondée mystérieusement dans une étreinte qui n’appartient qu’à la Trinité Sainte et à toi, heureuse élue du Père qui a sollicité ton acceptation de cette conception miraculeuse qui allait bouleverser toute ta vie : disant oui, tu t’exposais à l’accusation d’adultère sur la place publique, tu t’exposais à la répudiation par Joseph ton promis, qui, tout juste qu’il était, n’en était pas moins un homme attaché à son honneur. Disant oui, tu t’exposais à une aventure folle, ne sachant pas où ce Fils du Très-Haut te mènerait, ne comprenant pas comment, dans ta grande humilité, tu allais enfanter le Messie que le peuple juif attendait. Et toute sa vie, toute ta vie, tu as pu goûter à la fois la grâce de sa sainte présence, et la blessure du glaive qui allait transpercer ton cœur à mesure qu’il s’attirerait la haine des gardiens de votre religion. Marie, tu as eu, dans ce long parcours, une chance que beaucoup de femmes n’ont pas : ton époux Joseph a été averti en songe de ne pas te répudier, et d’accueillir humblement et avec générosité paternelle cet enfant qui n’était pas de lui. Tu as eu la chance d’avoir un époux visité lui aussi par l’Esprit, gardant la foi et acceptant en toi cette sainteté qui te rendait différente d’autres femmes qu’il aurait pu choisir. Ensuite, votre vie est une vie ordinaire, chahutée même. Le rejet à Bethléem, votre fuite en Egypte, votre retour à Nazareth avec sans doute les ragots qui entouraient la naissance de cet aîné différent. De nombreuses autres grossesses pour toi Marie, dans la fidélité conjugale et le dévouement aux tâches quotidiennes. Une vie humble, cachée, besogneuse. Et la foi. Le respect de toutes les traditions juives dans lesquelles tous vos enfants ont été élevés, Jésus se démarquant des autres par sa curiosité spirituelle et sa pertinence dans ses débats avec des doctes, même au Temple de Jérusalem à douze ans. Je ne vais pas raconter toute votre histoire Marie, elle est inscrite très précisément dans les Evangiles canoniques. Je veux simplement rendre justice à la mère de famille nombreuse que tu as été. Je veux te rendre tes fils et tes filles nés après Jésus, et qui ne l’ont pas toujours compris, l’ont cru fou, ont eu honte de lui, l’ont poursuivi ici et ailleurs pour le faire taire et rentrer à la maison… Je veux te rendre tes enfants ordinaires car nés d’un couple ordinaire, je veux te rendre toutes tes maternités, je veux te rendre ta place d’épouse de Joseph, comme nous la célébrons dans chaque prière eucharistique. Marie, sainte mère de Notre Seigneur et Sauveur Jésus-Christ, mère des fils qui se sont enfin convertis à sa Messianité après sa Résurrection, je veux assumer avec force ce que tu attends de moi : rétablir la vérité sur ta vie humble et féconde, dans la légitimité des Ecritures et la force des liens qui nous lient l’une à l’autre, depuis toujours et à jamais. Je t’aime, mère de Celui que je chéris, Véronique

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Michel réponse à dominique 21/03/2018 23:51

dominique 20/02/2016 09:26 Oui cela peut être très beau, mais pourquoi s’agripper avec tant de crispation pour savoir si la Maman de Jésus est vierge ou pas ? Pour moi, je trouve l'attention que l'on porte à ce sujet un peu irrespectueux et ne me regarde pas. C'est là une préoccupation bien masculine. Le sujet ne m'apporte vraiment rien et il est un peu en contradiction avec le vécu d'une Maman qui a été enceinte , qui à senti son enfant bouger dans son ventre (tressailli d'allégresse), qui a accouché (tu accoucheras dans la douleur), qui a allaité son Enfant , qui a entouré son enfance de ses soins Maternels . Cette Maman comme toutes les mamans n'aurait-elle pas connu l'étreinte amoureuse? Qu'en est-il alors de l'incarnation, de Dieu fait humain? Je préfère vraiment me confier à une vrai maman vivant dans une totale humanité, ayant accepté totalement cette mission extraordinaire d'être le lien avec l’Éternel Amour . Marie de Nazareth sacralise ainsi la mission de toutes les femmes , et cela devrait nous pousser à plus de respect. Valait mieux en effet que Marie et Joseph après la naissance de Jésus aient pu s'aimer comme ils en avaient le droit et avoir d'autres enfants,sinon , comment devant les grands prêtres auraient t'ils pu expliquer une seule naissance ,Joseph aurait t'il pu affirmer que cet enfant est bien de lui... et oui après la naissance de Jésus,Marie a bien mit au monde d'autres enfants...la famille Joseph Marie et leurs enfants... tout était bien... 30 ans ont passé ... Etant comme on le croyait fils de Joseph Jésus commença son ministère...mais!!! celui ci n'est t'il pas le fils de Joseph le charpentier et Marie n'est t'elle pas sa mère et ses frères et soeurs ne sont t'ils pas tous parmi nous ?...pour les gens de Nazareth Jésus était le sujet d'un grand étonnement "jamais homme n'a parlé comme cet homme disaient t'ils....

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michel 29/01/2018 23:07

« Marie est bénie entre toute les femmes » ce qui la différencie de toutes les autres femmes c’est le fait qu’elle est promise à un descendant du roi David …évangile de Luc chapitre 2 verset 4 « :Joseph était lui même de la maison et de la famille du roi David » …évangile de Jean chapitre 7 verset 42: « l’écriture ne dit t’elle pas que c’est de la postérité de David que doit venir le Christ » …évangile de Luc chapitre 1 verset 26: « l’ange Gabriel fut envoyé par Dieu dans une ville de Galilée appelée Nazareth auprès d’une vierge fiancée à un homme de la maison de David »…évangile de Luc chapitre 1 verset 29 et 30: « troublée par cette parole Marie se demandait ce pouvait signifier une telle salutation, l’ange lui dit ne crains pas Marie car que tu as trouvé grâce devant Dieu »… Pour Marie tout ceci est une immense grâce pas un privilège… Marie était la fiancée de Joseph le charpentier de Nazareth lui même descendant du grand roi David … évangile de Luc chapitre 1 verset 68 « béni soit le Seigneur le Dieu d’Israël de ce qu’il a visité et racheté son peuple et nous a suscité un puissant sauveur dans la maison de David son serviteur comme nous l’avaient annoncé par la bouche de ses saints prophètes des temps anciens…. Joseph et Marie tous deux étaient bien loin de se douter de ce qui allait leur arriver évangile de Matthieu chapitre 1 verset 19 :Joseph son époux qui était un homme de bien qui ne voulait pas la diffamer se proposa de rompre secrètement avec elle…. ...Paroles de l'ange "Joseph fils de David ne crins pas de prendre chez toi Marie ta femme ce qui est en elle vient du St Esprit" 'évangile de St Luc...évangile de St Luc "Joseph était lui même de la descendant et de la maison du Roi..David... ...L'ange Gabriel dit à Joseph "Joseph fils de David ne crains pas."..et à Marie L'ange Gabriel dit seulement "ne crains pas Marie voici que tu as trouvé grâce " étant la bien aimée d'un descendant du roi David Marie est bénie entres toutes les femmes (toutes les femmes du monde ont le même prix aux regard de Dieu) c'est donc Marie la bien aimée d'un descendant du roi David c'est elle Marie qui introduit dans la lignée du grand Roi David le sauveur promis dès les temps ancien "voici la vierge sera enceinte"...isaïe 7... hé oui les psaumes le Grand roi David qui était fils d'Isaïe ... le grand Roi David qui aimait tant le Seigneur... Isaïe la racine de Jessé un rejeton sortira de cette terre desséchée ...Isaîe 53 Moi Jésus je suis le rejetons et la postérité de David je suis l'étoile brillante de matin...

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Rémi 17/08/2017 22:40

lilou: J\'ai l\'impression que vous avez consulter l\'Esprit-Saint ! Alors pourquoi ne faites-vous pas part de vos entretien aux papes? SVP étudier le texte hébreux et le vocabulaire oriental du temps avant de vous prononcer sur \"les frères et soeurs de Jésus\". Vous êtes complètement dans l\'erreur.

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anne 16/08/2017 20:31

je suis parfaitement étonnée de tout ce que je lis en commentaires... Pourquoi nier la virginité de Marie ? la foi c'est "tout ou rien"... On ne choisit pas ce que l'on accepte de croire ou non.... Je ne suis pas assez calée pour remettre quoi que ce soit en question... Alors, même si je ne comprends pas tout, je prends tout. Les Mystères sont nombreux et nous ne les comprendrons que lorsque nous serons dans l'autre monde, avec nos yeux et notre coeur enfin éclairés. Et quel meilleur moyen d'atteindre Jésus que de passer par sa sainte Mère ? Il l'écoutera toujours, aura toujours le souhait de lui faire plaisir... Je demande autant à Jésus qu'à Marie ou Joseph. La sainte famille est indivisible. Bonne réflexion à tous et toutes. En union de prière.

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bubbleRight aleteia Père Guillaume de Menthière

Guillaume de Menthière est curé de paroisse à Paris et s'intéresse beaucoup à la pastorale des jeunes. Professeur de théologie au Collège des Bernardins, il est l'auteur de plusieurs ouvrages, notamment sur la Vierge Marie, tous écrits dans une langue claire et abordable.

Ses livres

Documents de référence

« L’approfondissement de sa foi en la maternité virginale a conduit l’Église à confesser la virginité réelle et perpétuelle de Marie même dans l’enfantement du Fils de Dieu fait homme. En effet la naissance du Christ " n’a pas diminué, mais consacré l’intégrité virginale " de sa mère »
(CEC 499)

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