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cliquez-iciCe que dit la Bible sur le thème : Islam
Petits enfants, voici venue la dernière heure. Vous avez ouï dire que l'Antichrist doit venir; et déjà maintenant beaucoup d'antichrists sont survenus : à quoi nous reconnaissons que la dernière heure est là. Ils sont sortis de chez nous, mais ils n'étaient pas des nôtres. S'ils avaient été des nôtres, ils seraient restés avec nous. Mais il fallait que fût démontré que tous n'étaient pas des nôtres.
A la vue du signe qu'il venait de faire, les gens disaient: "C'est vraiment lui le prophète qui doit venir dans le monde." Alors Jésus, se rendant compte qu'ils allaient venir s'emparer de lui pour le faire roi, s'enfuit à nouveau dans la montagne, tout seul.
Jésus a eu la possibilité d’établir un royaume terrestre, qu’il aurait ensuite dû défendre politiquement et militairement. Il a préféré accomplir la Rédemption et nous ouvrir le royaume des Cieux. L’islam substitue au Christ un messianisme politique au nom duquel la violence est permise.
Méfiez-vous des faux prophètes, qui viennent à vous déguisés en brebis, mais au-dedans sont des loups rapaces. C'est à leurs fruits que vous les reconnaîtrez. Cueille-t-on des raisins sur des épines ? Ou des figues sur des chardons ? Ainsi tout arbre bon produit de bons fruits, tandis que l'arbre gâté produit de mauvais fruits. Un bon arbre ne peut porter de mauvais fruits, ni un arbre gâté porter de bons fruits. Tout arbre qui ne donne pas un bon fruit, on le coupe et on le jette au feu. Ainsi donc, c'est à leurs fruits que vous les reconnaîtrez.
Jésus n'a pas annoncé un prophète après lui, mais il a annoncé son retour ; par conséquent, on peut considérer Muhammad comme un faux prophète. Certains éléments peuvent le faire passer pour "une brebis" qui nous ressemble, par exemple la foi en la résurrection et au jugement dernier, l'interdiction de tuer, ou celle de voler l'orphelin. Mais c'est aussi "un loup" quand le Coran encourage à tuer les chrétiens.
Le sixième mois, l'ange Gabriel fut envoyé par Dieu dans une ville de Galilée, du nom de Nazareth, 27 à une vierge fiancée à un homme du nom de Joseph, de la maison de David; et le nom de la vierge était Marie. 28 Il entra et lui dit: "Réjouis-toi, comblée de grâce, le Seigneur est avec toi." 29 A cette parole elle fut toute troublée, et elle se demandait ce que signifiait cette salutation. 30 Et l'ange lui dit: "Sois sans crainte, Marie; car tu as trouvé grâce auprès de Dieu. 31 Voici que tu concevras dans ton sein et enfanteras un fils, et tu l'appelleras du nom de Jésus. 32 Il sera grand, et sera appelé Fils du Très-Haut. Le Seigneur Dieu lui donnera le trône de David, son père; 33 il régnera sur la maison de Jacob pour les siècles et son règne n'aura pas de fin." 34 Mais Marie dit à l'ange: "Comment cela sera-t-il, puisque je ne connais pas d'homme?" 35 L'ange lui répondit: "L'Esprit Saint viendra sur toi, et la puissance du Très-Haut te prendra sous son ombre; c'est pourquoi l'être saint qui naîtra sera appelé Fils de Dieu. 36 Et voici qu'Elisabeth, ta parente, vient, elle aussi, de concevoir un fils dans sa vieillesse, et elle en est à son sixième mois, elle qu'on appelait la stérile; 37 car rien n'est impossible à Dieu." 38 Marie dit alors: "Je suis la servante du Seigneur; qu'il m'advienne selon ta parole!" Et l'ange la quitta.
Marie est souvent invoquée comme point commun des chrétiens avec l'islam. Cependant, dans la sourate 19, l'ange ressemble à un "homme parfait", l'enfant conçu est simplement un "garçon pur", et aucun consentement n'est attendu de la part de Marie, "le décret est irrévocable".
Comme un surgeon il a grandi devant lui, comme une racine en terre aride; sans beauté ni éclat pour attirer nos regards, et sans apparence qui nous eût séduits ; objet de mépris, abandonné des hommes, homme de douleur, familier de la souffrance, comme quelqu'un devant qui on se voile la face, méprisé, nous n'en faisions aucun cas. Et nous, nous le considérions comme puni, frappé par Dieu et humilié. Mais lui, il a été transpercé à cause de nos crimes, écrasé à cause de nos fautes. Le châtiment qui nous rend la paix est sur lui, et dans ses blessures nous trouvons la guérison.
Le Coran ne connait pas cette perspective selon laquelle la souffrance peut frapper un innocent dans un sens de rédemption pour les autres. Le Coran se limite à une "règle de Dieu" selon laquelle, sur la terre, les justes triomphent et les mécréant échouent (Coran 48, 22-23, etc.), avec en conséquence le raisonnement suivant : si la nation est pauvre ou humiliée, c'est qu'elle a manqué à la loi musulmane et elle doit y revenir plus sévèrement (charia).
Méfiez-vous des faux prophètes, qui viennent à vous déguisés en brebis, mais au-dedans sont des loups rapaces. C'est à leurs fruits que vous les reconnaîtrez. Cueille-t-on des raisins sur des épines? Ou des figues sur des chardons ? Ainsi tout arbre bon produit de bons fruits, tandis que l'arbre gâté produit de mauvais fruits. Un bon arbre ne peut porter de mauvais fruits, ni un arbre gâté porter de bons fruits. Tout arbre qui ne donne pas un bon fruit, on le coupe et on le jette au feu. Ainsi donc, c'est à leurs fruits que vous les reconnaîtrez.
Bien-aimés, ne vous fiez pas à tout esprit, mais éprouvez les esprits pour voir s'ils viennent de Dieu, car beaucoup de faux prophètes sont venus dans le monde. A ceci reconnaissez l'esprit de Dieu: tout esprit qui confesse Jésus-Christ venu dans la chair est de Dieu; et tout esprit qui ne confesse pas Jésus n'est pas de Dieu ; c'est là l'esprit de l'Antichrist. Vous avez entendu dire qu'il allait venir ; eh bien, maintenant, il est déjà dans le monde.
Parce que le Coran nie l’Incarnation et la rédemption par la croix, parce que, de surcroît, il voue les chrétiens à l’enfer (Sourates 1, 7 ; 4,51.116 ; 5,33.72 ; etc.), l’islam peut être qualifié d’antichristianisme. Cependant, il n’est pas l’unique antichristianisme de l’histoire, et Muhammad n'est pas l'unique "antichrist".
Qui est le menteur, sinon celui qui nie que Jésus soit le Christ? Le voilà l'Antichrist ! Il nie le Père et le Fils. Quiconque nie le Fils ne possède pas non plus le Père. Qui confesse le Fils possède aussi le Père. Pour vous, que ce que vous avez entendu dès le début demeure en vous. Si en vous demeure ce que vous avez entendu dès le début, vous aussi, vous demeurerez dans le Fils et dans le Père. Or telle est la promesse que lui-même vous a faite : la vie éternelle. Voilà ce que j'ai tenu à vous écrire au sujet de ceux qui cherchent à vous égarer.
Alors, le diable, leur séducteur, fut jeté dans l'étang de feu et de soufre, y rejoignant la Bête et le faux prophète, et leur supplice durera jour et nuit, pour les siècles des siècles.
Ce que dit l'Église sur le thème : Islam
L’Église regarde aussi avec estime les musulmans, qui adorent le Dieu unique, vivant et subsistant, miséricordieux et tout-puissant, créateur du ciel et de la terre, qui a parlé aux hommes. Ils cherchent à se soumettre de toute leur âme aux décrets de Dieu, même s’ils sont cachés, comme s’est soumis à Dieu Abraham, auquel la foi islamique se réfère volontiers. Bien qu’ils ne reconnaissent pas Jésus comme Dieu, ils le vénèrent comme prophète ; ils honorent sa Mère virginale, Marie, et parfois même l’invoquent avec piété. De plus, ils attendent le jour du jugement, où Dieu rétribuera tous les hommes après les avoir ressuscités. Aussi ont-ils en estime la vie morale et rendent-ils un culte à Dieu, surtout par la prière, l’aumône et le jeûne.
Même si, au cours des siècles, de nombreuses dissensions et inimitiés se sont manifestées entre les chrétiens et les musulmans, le saint Concile les exhorte tous à oublier le passé et à s’efforcer sincèrement à la compréhension mutuelle, ainsi qu’à protéger et à promouvoir ensemble, pour tous les hommes, la justice sociale, les valeurs morales, la paix et la liberté.
L’Islam se comprend lui-même comme la restauration de la religion naturelle originelle [...]. L’Islam s’attribue donc une vocation universelle et s’adresse à tous les hommes, qui sont considérés comme « naturellement » musulmans. La loi islamique, indissociablement communautaire, morale et religieuse, est comprise comme une loi donnée directement par Dieu [...].
Certes, au IXe siècle, l’école mou’tazilite a proclamé l’idée selon laquelle [...] l’homme pouvait par sa raison connaître ce qui est bon et mauvais. [...] Mais les ach’arites, qui dominent dans l’orthodoxie sunnite, ont soutenu une théorie adverse. Partisans d’un occasionalisme qui ne reconnaît aucune consistance à la nature, ils estiment que seule la révélation positive de Dieu définit le bien et le mal, le juste et l’injuste.
Parmi les prescriptions de cette loi divine positive, beaucoup reprennent les grands éléments du patrimoine moral de l’humanité et peuvent être mises en relation avec le Décalogue (cf. Coran, Sourate 17, 22-38).
Ceux qui communient aux souffrances du Christ ont devant les yeux le mystère pascal de la Croix et de la Résurrection, dans lequel le Christ descend, dans une première phase, jusqu'aux extrêmes limites de la faiblesse et de l'impuissance humaines : il meurt cloué sur la Croix.
Mais si en même temps dans cette faiblesse s'accomplit son élévation, confirmée par la force de la Résurrection, cela signifie que les faiblesses de toutes les souffrances humaines peuvent être pénétrées de la puissance de Dieu qui s'est manifestée dans la Croix du Christ.
Selon cette conception, souffrir signifie devenir particulièrement réceptif, particulièrement ouvert à l'action des forces salvifiques de Dieu offertes à l'humanité dans le Christ.
Au cœur de toute souffrance éprouvée par l'homme, et aussi à la base du monde entier des souffrances, apparaît inévitablement la question : pourquoi ? L'islam raisonne essentiellement à partir de la "loi suprême de l'histoire" (= la souffrance s'explique uniquement comme un désaveu, une punition), ce qui pousse les musulmans à se radicaliser chaque fois qu'ils souffrent. Ce petit texte de Jean-Paul II touche donc le cœur du dialogue islamo-chrétien.
La si admirable conversion du monde à la foi du Christ est une preuve très certaine en faveur des miracles anciens, telle qu’il n’est pas nécessaire de les voir se renouveler, puisqu’ils transparaissent avec évidence dans leurs effets. Ce serait certes un miracle plus étonnant que tous les autres que le monde ait été appelé, sans signes dignes d’admiration, par des hommes simples et de basse naissance, à croire des vérités si hautes, à faire des œuvres si difficiles, à espérer des biens si élevés. Encore que Dieu, même de nos jours, ne cesse de confirmer notre foi par les miracles de ses saints.
Les fondateurs de secte ont procédé de manière inverse.
- Mahomet a séduit les peuples par des promesses de voluptés charnelles au désir desquelles pousse la concupiscence de la chair. Lâchant la bride à la volupté, il a donné des commandements conformes à ses promesses, auxquels les hommes charnels peuvent obéir facilement.
- En fait de vérités, il n’en a avancé que de faciles à saisir par n’importe quel esprit médiocrement ouvert. Par contre, il a entremêlé les vérités de son enseignement de beaucoup de fables et de doctrines des plus fausses.
- Il n’a pas apporté de preuves surnaturelles, les seules à témoigner comme il convient de l’inspiration divine, quand une œuvre visible, qui ne peut être que de Dieu prouve que le docteur de vérité est invisiblement inspiré.
- Il a prétendu au contraire qu’il était envoyé dans la puissance des armes, preuves qui ne font point défaut aux brigands et aux tyrans. D’ailleurs, ceux qui dès le début crurent en lui ne furent point des sages bien instruits des sciences divines et humaines, mais des hommes sauvages, habitants des déserts, complètement ignorants de toute science de Dieu, dont le grand nombre l’aida, par la violence des armes, à imposer sa loi à d’autres peuples.
- Aucune prophétie divine ne témoigne en sa faveur ; bien au contraire, il déforme les enseignements de l’Ancien et du Nouveau Testament par des récits légendaires, comme c’est évident pour qui étudie sa loi.
- Aussi bien, par une mesure pleine d’astuce, il interdit à ses disciples de lire les livres de l’Ancien et du Nouveau Testament qui pourraient le convaincre de fausseté.
C’est donc une chose évidente que ceux qui ajoutent foi à sa parole, croient à la légère.
Citations sur le thème : Islam
L’islam apparaît être indubitablement un sous-produit du christianisme – comme tous les post-christianismes ; l’histoire a un sens, et nous sommes sur terre non pour collaborer avec l’Anti-christ mais pour préparer le Jour du Jugement ; ce Jour sera l’œuvre de Dieu et non celle d’une armée de djihadistes.
Le fait que Mahomet ou les auteurs du Coran aient connu le christianisme se prouve assez facilement. Mais ils en sont "sortis". L'islam est un post-christianisme qui se positionne comme une contrefaçon ou comme un rejet du christianisme, tout en ayant conservé un certain nombre de personnages bibliques et d'éléments chrétiens.