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  ∨ Foi et raisons Liberté

Qu'est-ce que la liberté ?

Outre la liberté à l’égard de la contrainte, on doit envisager la liberté à l’égard de la nécessité, requise par la responsabilité morale. En excluant le déterminisme, elle pose le problème d’une conciliation avec la souveraineté divine. Mais cette dernière est, par la grâce, la garantie d’une troisième liberté à l’égard du péché et de la misère.
  • 1. 

    Il existe trois notions de liberté : la première, unanimement acceptée, concerne les différentes formes de contrainte, physiques (prison) et morales (menaces), qui asservissent à autrui. On peut aussi parler de liberté vis-à-vis de la nécessité, c’est-à-dire le contraire du déterminisme, un pouvoir d’agir d’une manière ou d’une autre, en particulier de faire le bien ou de faire le mal. Une troisième liberté, qui assure l’absence d’asservissement à l’égard du péché, n’est assurée que par le choix du bien, et réclame une aide, une libération divine.

  • 2. 

    La liberté de Dieu correspond pleinement à la troisième définition, mais elle est plus ambiguë que la deuxième. En effet, Dieu est étranger au mal, sa liberté n’entretient pas le même rapport avec la responsabilité.

  • 3. 

    La possibilité d’un choix libre peut sembler menacée par le déterminisme naturel, selon lequel tout ne peut se passer que d’une manière, selon les lois de la nature ; et aussi par un déterminisme découlant du plan de Dieu

  • 4. 

    La foi demande de tenir à la fois la responsabilité des hommes et la souveraineté divine. Il y a ainsi un mystère par lequel l’homme prend part à la décision, bien que toute grâce vienne de Dieu, et il ne faut pas s’alarmer de ne pas comprendre parfaitement ce mystère.

  • 5. 

    La responsabilité humaine vis-à-vis du mal, qui ne peut procéder de Dieu, exclut un déterminisme d’ordre matériel.

  • 6. 

    La liberté n’est pas toujours où on le croit. Les habitudes peuvent ainsi être vues à la fois comme des actes conditionnés et comme des actes dont la liberté vient d’un choix antérieur, voire comme un moyen de libérer son attention à un degré plus élevé.

  • 7. 

    Le Christ nous invite à chercher la véritable liberté, qui est celle par rapport au péché. Il est celui par lequel nous pouvons rejeter le mal et choisir le bien.

5

commentaires

postés

Adalbert 14/06/2018 15:52

La véritable liberté sur terre, c'est celle de choisir son Maître.

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DANIEL 13/06/2018 09:06

Il existe bien trois formes de privation de la liberté : celle imposée par autrui par le moyen de la contrainte par corps et de la contrainte par la terreur psychologique; celle imposée par la nature aveugle qui limite nos capacité d’agir; celle imposée de l’intérieur de faire ou ne pas faire ce que l’on peut ne pas faire ou faire. ……………. On pourrait ajouter à la privation par la terreur psychique une forme sournoise qui est l’endoctrinement et la falsification des mots, ainsi que la privation de l’intelligence qui nous fait tomber dans « l’invincible ignorance » évoquée par les Papes du 19è siècle. Elle peut s’appuyer aussi sur la terreur sociale qui est l’interdiction consensuelle ou juridique de parler autrement que selon les mots et le discours autorisés. Le dévoiement du sens des mots et l’invention ex nihilo de mots sans contenu concret ou de trop large acception (les mots usuels naturels ayant tous été construits sur du concret) permet l’asservissement des esprits sans violence apparente. L’assimilation de ces mots se fait non par la raison, qui devrait les rejeter, mais par l’effet de la sidération, du spectaculaire, de l’émotion, de la commisération, et de la honte. Une fois enfermée dans l’ornière, l’intelligence ne cherche plus d’autre issue à une problématique, d’autres perspectives dans le champ du réel, que de continuer dedans, vers l’avant. Elle est prisonnière. Or, « la liberté qui nous rend libre » c’est de connaître la révélation qui, à la regarder de près, va à l’encontre de la logique de la loi de la nature qui est la « lutte pour la vie » et la domination des forts (ne pas confondre la Loi de la Nature et la Loi Naturelle qui est la règle morale chrétienne). Nietzsche a critiqué la Révélation judéo-christienne à cause de cela, l’accusant de dégrader le viabilité de l’humanité. Kant a défendu la Révélation en disant que le paradigme de Dieu soutient celui du bien/mal au sens chrétien qui est la seul possibilité de rendre viable la société humaine. ……………. Pour la privation de liberté qui relève de la nature aveugle qui limite nos capacités, on peut voir combien cette ficelle est utilisée par les dirigeants en mettant en avant les contraintes économiques, surtout financières, que peu de gens peuvent analyser sur le fond, manquant de compréhension et d’informations. On présente aussi des décision « enfermantes » prises en amont par des humains comme des forces de la nature. Dès lors, tout le monde doit agir de concert avec le système qu’on voit par ailleurs broyer l’humain et ne servir qu’à certains. …………….. Pour la troisième forme de privation, on est face à soi-même, et on agit vis à vis de soi-même ou d’autrui. C’est le domaine de l’acte moral. C’est le domaine du bien et du mal. Le mal est défini comme un acte méchant mais aussi comme < l’absence > d’un bien que l’on pourrait faire. C’est ce deuxième versant de l’agir qui pose problème : ne pas faire de mal, ça n’est pas être bon, être bon c’est exercer la Charité, et la charité n’est pas l’amour dicté par nos hormones mais l’Amour divin qui, lui, a besoin de Dieu pour être. C’est la différence entre une personne conforme aux lois qui permettent la vie en société et un/une saint(e). …………………… Agir dans le sens de nos penchants naturels ou culturels ne demande par définition aucune volonté : nous ne sommes pas libres. Mais agir contre un penchant naturel ou contre un déterminisme extérieur nécessite la mise en oeuvre de la volonté. Et, là, nous sommes libres. C’est pourquoi la Révélation nous rend libres, il ne faut pas croire qu’elle nous facilite la tâche en nous ouvrant un espace d’action sans efforts. Notre volonté n’est pas déterminée comme une force biologique incontrôlable, elle dépend de la grâce de Dieu, et nous pouvons demander ces grâces. Demander une grâce c’est accepter les effets de cette grâce, c’est accepter ou refuser de participer à la Charité divine. Le Christ a dit « sans moi vous ne pouvez rien faire », bien entendu il ne pensait pas à l’exploration de la Lune ou aux techniques chirurgicales, ni à l’amour conjugal ou filiale, ni à l’entraide entre voisins, etc. il pensait à la Charité qui est à la fois si simple dans son besoin en ressources et en connaissances et parfois bien plus difficile qu’un voyage sur Mars. ……………………………. Libres et dotés des moyens de la Grâce divine, nous sommes donc < responsables > aux yeux de Dieu. Nous nous jugeons par nous-mêmes; Il nous suffit d’être conscients de notre fin dernière. Il est faux de dire que nous sommes le fruit d’un déterminisme biologique, car par sa conscience, en particulier celle du bien et du mal, l’être humain (non malade) peut dominer son corps, c’est prouvé expérimentalement par les saints et aussi par des expériences non religieuses de vie dans des circonstance dramatiques. ………………………………………. Le « devient ce que tu es » est un domaine d’ambiguïté philosophique selon la définition du « ce que tue es » : soit on suit les philosophes athées matérialistes qui disent que notre nature n’existe pas et que nous nous construisons librement au grès d’une expérience personnelle (ce qui exige de sortir de l’ornière naturelle ou religieuse, des habitus culturels, en innovant complètement sur la nature humaine), tout finalement étant affaire de relativisme, de choix personnel, la seule contrainte étant le respect d’un ordre social basé sur la capacité et les fonctions de domination, et ce chemin de vérité étant ouvert par des pratique initiatiques. Soit on suit la Révélation judéo-chrétienne qui dit que notre nature est ainsi faite par Dieu et qu’en sortir (c’est à dire sortir de l’héritage historique, consensuel et biologique, sortir aussi des notions de bien/mal de cette révélation) c’est s’exposer aux souffrances nées de l’erreur, souffrances qui ne sont ni une punition exercée par Dieu, ni une expiation. Et que c’est péché que d’aller vers ça en connaissance de cause. Notre capacité d’agir librement peut nous faire sortir de la révélation, de la nature, de la Loi Naturelle, mais alors des souffrances nous y attendent. On peut être béat d’admiration devant le « bonheur » des sociétés « primitives » dites « naturelles » et prôner une autre nature plus heureuse que la naturelle. Ceci fait parti des critiques qu’on peut adresser aux penseurs modernes. Il est vrai aussi que les sociétés dites « d’héritage judéo-chrétien » ne sont pas un idéal de bonté charitable, mais c’est là le signe de la résistance du mal envers la Révélation. Nos société libertaires, libérales économiquement et moralement sont grosses de souffrances humaines énormes qui se voient déjà partout et qui se verront encore plus dans l’avenir. Comme si, effectivement il n’y a bien que la voie du bien de la Révélation qui préserve de ces souffrances. La seule Liberté qui vaille théologiquement c’est celle de faire le Bien, et ainsi qu’il n’y a pas deux vérités sur la même chose, il n’y a que la liberté de faire le Bien et de ne pas faire le mal. Nous revenons là à la source de la Bible : l’Arbre de la connaissance du Bien et du Mal.

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Pierre 13/06/2018 08:52

C'est beaucoup de philosophie ! Tout se passe dans une sorte d'en-soi. Il serait bon d'entendre parler un amoureux, lié par son amour qui le rend totalement dépendant de l'autre, mais se battant pour le respect de la liberté de choisir d'aimer.

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GERARD Michel 12/06/2018 17:25

On peut se demander si le temps n'a pas été créé pour être la "matière première de la liberté de l'homme". On sait depuis Einstein que le temps n'est en fait qu'une 4ème dimension perpendiculaire aux 3 autres dans un espace à 4 dimensions (cet espace en a d'ailleurs peut-être plusieurs autres ce qui permettrait d'expliquer certains phénomènes physiques dont l'origine est inconnue, mais restons à 4). Cette dimension fait comme les autres : elles s'échangent entre elles de la même façon qu'en 3 dimensions un cube qui virevolte change les coordonnées de ses sommets par rapport à des axes de références sans changer lui-même. On connait le paradoxe des jumeaux dont l'un part dans l'espace puis revient sur Terre plus jeune que l'autre. Dieu créateur n'est pas dans sa création : il est hors de l'espace et du temps, nous devrions même dire désormais hors de l'espace-temps. Pourquoi nous-a-t'il rendu (puis-je d'ailleurs employer le passé composé) "aveugles au temps" au cours de notre vie terrestre ? Nous sommes en effet très comparables à des êtres (il en existe) qui ne sont sensibles qu'à deux dimensions et se perçoivent donc comme des acteurs sur un écran de cinéma : pour eux le monde est plat et leur physique consiste beaucoup à expliquer les phénomènes qu'ils ressentent comme curieux parce que le monde, l'écran sur lequel ils se promènent, en fait, n'est pas plat. Pour moi il est devenu presque évident que le temps nous est donné pour nous permettre de chercher Dieu et son Amour en êtres libres (que signifierait un amour obligatoire par l'évidence même de son Existence et de sa Réalité) NB La physique quantique est par ailleurs devenue très dubitative sur le prétendu "déterminisme". Il est aujourd'hui impossible d'affirmer que l'état futur d'un système physique pourrait être connu si l'on disposait de toutes les données de l'état précédent dudit système. C'est fort choquant pour notre intellect mais c'est ainsi. NB 2 Cela me fait penser que sans tomber dans le concordisme, les expressions de la foi chrétienne devraient dépasser celles de nos aïeux qui n'avaient pas nos connaissances scientifiques.

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Hervé-Patrick STELLA 08/11/2016 16:20

La liberté c'est l'acte de poser un choix elle ne peut s'exprimer que dans l'action, l'aliénation c'est de refuser de choisir.

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bubbleRight aleteia Cyrille Michon
La réponse de Cyrille Michon

Cyrille Michon est un philosophe spécialiste de philosophie médiévale, de philosophie des religions et de métaphysique. Il est actuellement professeur à l'Université de Nantes, directeur du Centre Atlantique de Philosophie (CAPHI) et directeur de la revue Igitur.

Ses livres

Nominalisme : la théorie de la signification d’Occam, Paris, Vrin, coll. « Sic et Non », 1994

Prescience et liberté, Essai de théologie philosophique sur la providence, PUF, 2004

Le libre arbitre, dans la collection « Chemins de savoir », Paris, Vrin, 2011

Ses liens

http://www.caphi.univ-nantes.fr/_Cyrille-Michon_

 

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